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Investir dans le viager mutualisé

On le sait, investir en viager offre un intérêt financier évident, à condition que votre crédirentier ne concurrence pas Jeanne Calmant …

 

Le principe est connu : on achète un bien occupé par son propriétaire, généralement âgé, en échange d’un bouquet (somme versée lors de l’achat du viager) et d’une rente (versée jusqu’au décès du vendeur).

  •  Pendant la phase d’occupation, le crédirentier habite normalement le bien et perçoit donc la rente.
  • A son décès, l’investisseur devient pleinement propriétaire du bien.

 

Le marché du viager souffre aujourd’hui d’un déséquilibre fort pour des raisons structurelles :

  •  Profil type des vendeurs (crédirentiers) : personnes âgées, généralement sans enfants, dotés d’une retraite insuffisante. Ce sont souvent des veuves de 80 ans et plus. Compte tenu de l’évolution démographique, ils deviennent de plus en plus nombreux …
  • Profil type des acheteurs  (débirentiers) : ce sont des investisseurs qui recherche une plus-value et qui sont prêts à accepter le risque de « longévité » de leur vendeur. Ce risque étant totalement aléatoire, les investisseurs sont peu nombreux.

L’achat mutualisé : par le biais d’un fond commun de placement (type SCPI), il est possible d’acheter des parts investies dans une multiplicité de biens immobiliers en viager. On neutralise ainsi ce risque de « longévité ».

 

Avertissement: ce document ne constitue ni un démarchage, ni une offre de souscription. L’investissement dans l’ ensemble des supports présentés est réservée aux investissements avertis et présente un risque de perte en capital.

Pour plus d’ informations, les investisseurs doivent se référer à la plaquette et au Prospectus complet visés par l’AMF.